Are you Geek ?

51%

Hinhinhin, en voilà une nouvelle qu’elle est bonne….

Mais c’est quoi un Geek ? (Moui, je vois d’ici ta tête, Public, la Greluche que tu es est à 100000 bornes de ce monde.

Voyons ce que l’ami Wikipédia nous explique :

se prononçant [giːk]) est un stéréotype décrivant une personne passionnée, voire obsédée, par un domaine précis, généralement l'informatique. Le type même du geek sont les premiers de la classe, à profil scientifique, férus de superhéros et de science-fiction.

À l’origine, en anglais le terme signifiait « fada », soit une variation argotique de « fou », « crétin ». D’abord péjoratif ─ son homographe désigne un clown de carnaval ─ il est maintenant revendiqué par certaines personnes. Le terme est voisin de l’argot estudiantin polar (toujours plongé dans un polycopié). Voir aussi : nerd, otaku, hardcore gamer, etc.

Vu mes 51% de résultat, cela voudrait-il dire que je suis à moitié obsédée, que je suis dans le niveau moyen de la classe, et les super héros, c’est qu’à moitié mon truc….

Ben oui….il est pas aussi bête qu’il en a l’air ce sondage !

Mais, cela voudrait-il dire que je suis une fille « moyenne », avec une demi binocle, des boutons sur la moitié de la face et les cheveux à moitié gras (stéréotype quand tu nous tiens….)

Le doute m’habite…

I 'm a Survivor

Or donc me revoilà avec ma plume pour vous faire part d’une chose qui me terrifie. Bon, la terreur est ici toute relative, vous le verrez, mais bon, face à ce genre de découverte, mon sens de la modération est tout à fait inopérant.

Je croyais, et là l’utilisation de l’imparfait démontre clairement et définitivement une croyance révolue, qui appartient au passé de la béotienne que je suis. Je croyais que tous les bons plans étaient à ma connaissance, et qu’en terme de chouze, on me la faisait pas à moi. Tututu. Moi, mon magasin de chaussures préféré, par exemple, c’est André. Je suis une André addict. Une Andrict, si tu préfères. Leurs bottines, leurs salomés, leurs Maryjane, et…leurs escarpins rétro. Quand j’ai découvert Ma paire, je me suis jetée dessus comme la misère sur le monde tellement elles déchirent sa race. Mais 75€ quand même. Je le rappelle, je ne suis pas une héritière de l’empire Rockfeller, aussi, mon budget sape reste-t-il modeste. En plus, quelle que soit la qualité de mes escarpins, je bousille les talons, en moins de deux ils finissent en chou-fleur. J’ai un pas « décidé » paraît-il. Bref, je m’égare. Tout ça pour dire que ces petits escarpins si mignons (et si chers…) je veux les garder longtemps…genre s’ils pouvaient me faire l’été prochain, ça m’arrangerait grave.

J’ai alors eu une idée de génie : j’achète (à moindre coût) une paire dans le même style pour porter moins souvent ma belle paire chérie. D’ordinaire, j’écume les Gémo, les Halles aux Chaussures et autres hangars de zones industrielles. Mais non, j’ai décidé d’affronter la foule de la rue St Denis, à Châtelet, dans ces boutiques dites « chinoises » (rapport aux vendeurs…). Moi à la base, je croyais qu’on y vendait que des ballerines violettes et des bijoux fushia en plastique pour d’excentriques lolitas. Ben non. Enfin, si, mais y’a pas que ça, sinon, ça flairerait pas le bon plan. Figure toi greluche qu’on y trouve en plus quelques paires d’escarpins tous mimis, dont une paire à patin mordorée, absolument délicieuse, si rétro que Christina Aguilera se pâmerait devant. Pas de pot : rupture de 37, ça commence qu’au 39 (pour une boutique dont la pointure moyenne des vendeuses est 32.5, ça la fout mal, croyez moi). Alors j’ai continué ma quête quelque peu déçue, et surtout amère à la vue de toutes ces greluches ayant un, voire, audace suprême, plusieurs sacs dans les mains . Elles avaient toutes trouvé leur bonheur, et moi ? Quand soudain, elles me sont apparues…aux pieds d’une autre. Les greluches de la rue St Denis font décidemment preuve d’une audace sans limite. Rassemblant toute ma bonne volonté pour lui décrocher un sourire alors que, de toute évidence, j’avais plus envie de lui arracher ses pompes et de sortir de ce trou à rats, je lui demande dans quel rayon elle les avait trouvées (le magasin grouillait tellement que je ne voyais même pas mes propres pompes…) « Là-bas ! » me dit-elle avec un sourire triomphant. J’en aurait mis ma main à couper : cette fille ne vivait certainement pas le même calvaire que moi. C’était une habituée : comment peut-on garder son calme dans ce genre de magasin ? On aurait dit un lendemain de guérilla urbaine. C’était insoutenable. Les modèles d’expo n’étaient pas au dessus des boites, mais à coté, et vous pouvez pas savoir à quel point ça énerve. Ensuite, il faut trouver une place pour faire les essayages, parce que si on essaye dans l’allée même, on se fait sauvagement alpaguer par une vendeuse d’au moins 1m50 au garot qui vous indique le dessus des meubles. Oui, on s’assoit sur les meubles de présentation. Je me saisie donc de la paire convoitée, qui se trouvait à coté d’une improbable paire d’escarpins verts vernis, je m’installe, et je contemple. Sont magnifiques. Où est le miroir ? Ah ok, derrière l’attroupement dans le coin. Je me demandais ce qu’il pouvait bien y avoir de si intéressant dans ce coin, me voilà renseignée…. Pas grave, on se passera de l’approbation du miroir cette fois. A la caisse, c’est l’usine : un qui encaisse, l’autre qui mets dans un sac. « Bongjour » « Angvoir » et hop, me voilà dehors. Je crois que c’est à ce moment précis que l’on apprécie le plus la rue St Denis.

La beauté des pieds n’a pas de prix, mes escarpins, si : 18.90€.

J’ai une passion démentielle pour ma pochette. Non, pas pour LES pochettes comme Hélène, mais MA pochette.

C’est une petite sacoche que j’ai dégoté à H&M pour la modique somme de 4€ pour y mettre tous mes ustensiles de greluche nomade. Je m’explique : Je ne sors jamais sans mon petit attirail dans mon sac à main. C’est comme ça, je me sens mieux si je les ai avec moi que sans. Un peu comme un téléphone portable. Et cette petite pochette est siouper pratique : quand je change de sac à main, j’ai juste à transvaser ma pochette. Pas tous mes produits un à un au risque d’oublier celui dont j’aurais besoin ce jour précisement.

Moi par exemple, je suis une furieuse des ongles (bon, pas en ce moment cause sacrifice ) donc j’ai toujours mon pollisoir et ma lime de compèt’. Accompagnés d’une base transparente, et de deux rouges. Hum. Je viens de réaliser que j’ai DEUX vernis à ongles rouge dans mon sac à main. Note pour plus tard : n’en garder qu’un, le petit de préférence pour mon petit biceps droit.

Indispensable, un sens-bon. En ce moment, j’ai le très sucré « Coco » d’Yves Rocher que j’ai remonté de la cave car je suis à court de flacon miniature de JPG. Ben j’étais étonné qu’il sente encore après autant d’années… Je déteste YR, mais ce parfum, ça me rappelle les vacances, alors je fais exception. Ceci-étant, je me parfume le matin, et ça dure allègrement jusqu’au soir : j’ai la main lourde le matin, héhé.

Ah oui, mon blush crème L’oréal. Je l’adore. C’est un échantillon donné par ma coiffeuse (me emandez pas pourquoi) et ipossible de le retrouver dans le commerce. Autant vous dire que je l’utilise avec parcimonie. Il est différent des autres car il fait un effet glacé sur les pommettes, même quand il fait 40 dehors. Et il sent bon, et sentir bon de la pommette, c’est quand même super glamour.

J’ai des rouges à lèvre. Je dois avouer que c’est histoire de. Pour la simple et bonne raison que je ne tiens pas les rouge à lèvre. J’ai tout essayé à renfort de mouchoir en papier pincé entre les lèvres, de poudre libre, d’application au pinceau. Non. Moi ça bouloche ( o_0 ) et ça fait des petites peaux immondes sur les lèvres. La pauvre souillon de base quoi. Et l’autre bonne raison, c’est que j’ai perdu mon petit miroir de poche. Mais grâce à l’intervention divine, hier, j’ai remis la main sur un Saint Cadeau d’Agnès B, le petit miroir de poche à clapet. Sublime.

J’ai aussi des cachetons pour le crâne, ça non plus je sors pas sans, car j’ai la sale impression que la migraine me guette dès que je les oublie à la maison.

C’est comme les pansements avec les ampoules au talon. Aie.

Enfin, un petit échantillon de crème hydratante. Pour partout sauf le visage, je suis pas kamikaze. Non, pour le mollet secos alors que je suis en jupe, pour les mains, les coudes… bref, tout ce qui peut tirailler en journée quoi…

Il manque beaucoup de choses encore dans cette pochette (qui s'appelerait du coup "poche" si elle était plus grande..), mais voyez vous, je tiens à mon sac à main médium, et le look culturiste qui porte son sac de sport au bras, très peu pour moi, merci bien.

J'ai fait ma B.A fringuesque

Je sais pas ce qui m’a décidé de faire ça précisément ce week-end, mais j’avais dans l’idée de ne pas le faire à moitié. Je parle de vider mes armoires (moui, j’ai DES armoires…). Sûrement poussée par le raz le bol matinal du « j’ai rien à me mettre » devant des placards pleins à craquer, je me suis lancée dans un rangement par le vide. J’adore cette méthode. Ça doit me venir de 4 déménagements en 5 ans : trimballer les vieilleries, ça fout le cafard. « Pourquoi je me décarcasse à emballer soigneusement tout ce que je pourrais joyeusement jeter ? ». Ça a fait mouche.

Depuis, je « rafraîchi » régulièrement mes étagères, je fais des paquets tout mignons, et je les dépose dans un container Croix Rouge. Ou équivalent. Peu importe, je suis pas psychorigide.

Mais attention hein, je respecte les consignes : pas de vêtements « pour sortir les poubelles » (ça, c’est la benne direct !), il faut qu’ils soient propre et pliés, par respect pour ceux qui vont les ouvrir. Ça, ça prend du temps, mais la satisfaction vient aussi de là.

Du coup, j’ai fait 3 tas : un de fringues « correctes », mais que je ne porte plus (ma technique consiste à déclarer comme « plus porté » ceux qui n’ont pas bougé de leur cintre depuis un an : si depuis un an je rechigne à le porter, pour quelle raison aurais-je envie de le porter demain ? Hinhinnnnnn, pas con hein ?), un tas « poubelle », les trucs immondes qui laissent supposer que je me suis droguée à un moment de ma vie, et un tas « chiffon », composé de pièces en coton bien absorbant. Le tas en photo, c’est ce qui est à donner. Oui, j’en conviens, y’en a énormément. D’ailleurs, j’ai récupéré 50 cintres. Gloups. Je vais ouvrir un commerce de portemanteaux tellement j’en ai de toutes les sortes…

Autre satisfaction, c’est que je me suis débarrassée de manière utile de mes sacs en plastique et en papier que je conservais pour d’obscures raisons. Je les fourrais les uns dans les autres, en murmurant que ça resservirait bien un jour, et que c’est toujours quand on en a besoin qu’on s’aperçoit qu’on n’en a pas. Le tas menaçait furieusement de bloquer l’entrée du cellier. Jusqu’à ce que ce matin, je fasse d’une pierre deux coups. J’ai sauvé mon cellier de l’étouffement, et j’ai fait de l’air dans mes armoires.

La récompense ultime, et encore ignorée de l’Homme (huhuhuhu), c’est qu’il va falloir à nouveau occuper ces cintres. Bah oui, c’est pas innocent tout ça, je bosse pas pour la gloire. Quand, les yeux embués de larmes, je pleurnicherais que j’ai rien à me mettre, je ne m’entendrais plus dire que mes armoires sont pleines de fringues. Faux. Était. Et que je suis victime aujourd’hui de ma générosité, habillée comme une pauvresse.

Comme quoi, tout est possible en ce bas monde, même une Greluche qui se contente de peu. Voire même de quasi rien. Si. C'est vrai.

Moi, j'ai les yeux capricieux. Déjà, ils voient pas grand chose, mais bon c'est pas l'objet du jour, on va pas faire l'inventaire de tous mes défauts, je veux pas finir la tête dans le four ce soir. Bon, j'en suis où moi...ah oui: Mais en plus, mes yeux, les feules, ils sont secs, picotent, voire démangent furieusement dès l'application d'un produit hasardeux. Genre pour mes yeux Respectissime de la Roche Posay, c'est hasardeux, voyez le caprice de diva.... C'était soit je renoncais au make-up, soit je lançais le look "mixomatose". La loose.

Rassure toi greluche, j'ai pas trouvé toute seule, j'ai chopé cette idée sur un site de nanas 100% naturelles (je ne suis pas quequ'un d'extrémiste moi...hahem. Encore que je tenterais bien le caillou à se frotter sur les dssoudbras. Oui, c'est ça, Alain.). Ou bien était-ce sur un site de radins... Ce qui n'exclut pas le fait de pouvoir être naturelle.Bref. En fait il s'agit tout bêtement (encore que fallait l'inventer! Hé!) d'humidifer à l'eau tiède un coton à démaquiller et d'y verser une goutte d'huile d'olive. La première qui a tenté ça, devait bien être au fond du gouffre avec ses noeils elle pour descendre à la cuisine et taper dans la bouteille d'huile. Et qui sait ce qu'elle a essayer avant? Du beurre, de la crême fleurette et que sais-je..... Tant de sacrifices et d'expériences inédites pour la science greluche, moi je dis bravo.

Mais attention, c'était pas de l'huile à balle-deux hein qu'elle avait dans son placard la miss!!! De l'huile 1ère pression à froid silvouplé! Et là, j'vous raconte pas la classe: non seulement j'ai plus des yeux d'un dealeur de LSD, mais en plus, ça les hydrate délicatement. Fini les yeux qui piquent la nuit.

Truc de ouf.

Bref renoncement à la Grelucherie

Et je mets une majuscule à la Grelucherie, siouplé!

Tous les ans, j'accorde à l'Homme quelques jours où je lui fiche complètement la paix avec mes coercitions girly, le couple n'est que compromis, parait-il....

Hum.

Bref, ben figure toi Lectrice qu'il choisi 3 jours mi-mai, date d'une espèce de concentration de motards hirsutes (cause casque) à l'haleine de poney (cause camping, manque de lavabo!hiiiiiii) que l'on appelle "Grand Prix Moto". 3 jours à la campagne, en camping, à respirer le grand air...ou presque. C'est un monde d'Homme, où la Femme n'a qu'à bien se tenir, sinon, oust! A la dure, faire quelques centaines de bornes le saint fessard sur 20cm² de selle taillée dans le chêne, 15kg, sinon plus, sur le dos, et en moto Simone! A l'arrivée, on est loin du Martinez: guitoune, matelas gonflable rudimentaire, et lingettes nettoyantes pour bébé pour seul confort.

Donc là, je prends quand même grave sur moi, je suis un mo-dèle de tolérance, mais supporter des ahuris hurlant à 4h du matin derrière la toile de tente que la Kro, y'a définitivement que ça de vrai, je trouve que c'est dépasser les bornes de mes limites. Je vous fais grâce des rires gras à des vannes misogynes, des cowboys en cuir roulant les mécaniques façon Terminator au sourire édenté, et de ceux qui vous marchent sur les pieds avec leur bottes coqués pleines de boue sans sentir votre pauvre peton meurtri...

Pour me fondre dans la masse, et tenir ma promesse par la même occasion, j'ai fait d'inconcevables sacrifices... je n'ose le dire.

J'ai coupé mes ongles chéris.

J'ai écrasé une larme la veille de partir, mais faut ce qu'il faut. Déjà tout courts qu'ils sont, ils sont devenus tout noir à peine la tente finie de monter, j'imagine même pas le carnage s'ils étaient restés longs. Du gâchis j'vous dit.

Je suis sortie sans make-up. La biffe. J'ai une mine cadavérique sur les photos. Mais ça fait "trop greluche", alors niet. Et je suis allergiques aux lingettes démaqullantes....

Ah oui. Avec le casque, c'est pas de queue de cheval (essayez de mettre un casque avec une queue de cheval, c'est démentiel), pas de cheveux lâchés non plus (cause plein de petits noeuds qui font bobo au brossage), je ne vous parle pas des petites barrettes qui vous assassinent le crâne en ôtant le casque. Je ne vois plus que la queue basse. Avec mon cheveux pauvre, j'étais la misère incarnée. Là encore, c'était pas des instants Kodak.

Pour élever le niveau, j'ai quand même réussi à prendre une douche. Bon, je te le dis sincèrement, même si je la désirais de tout mon corps cette douche, c'était pas la meilleure de ma vie: pour ce faire, il a fallut se lever à 5h30 (exit la file d'attente, oui, tu lis bien), slalomer 300m entre les canettes de bière avant les premières toilettes, pour prendre une douche tiède, DEHORS (enfin, y'avait 4 murs autour de moi hein, faut pas pousser la grelucherie à l'exhibitionnisme non plus...). Que de sacrifices pour se sentir fraîche l'espace de 4h....

Enfin voilà....yé soui de retour à la civilisation. J'ai brossé vigoureusement mes ongles (et mes dents), j'ai lavé mes cheveux comme il se doit, je me suis reperchée sur des talons, ouf, l'honneur greluchien est sauf.

Mais ça Lui a fait tellement plaisir. ;o)

Journée Capillo catastrophique

Aujourd’hui est un jour de loose capillaire. J’ai un genre de coiffé-décoiffé savamment….non travaillé. On dirait que je viens de sauter du lit, et ce, même à 15h. Au taf, ça le fait moyen faible. Ils frisouillent à plat, rebiquent, sont mous, tiennent pas en queue de cheval, lachés, c’est pire, et si je tente avec optimisme un chignon décoiffé (mais si, tu vois, la coiffure que tu fais quand vraiment t’as pas eu le temps de te laver les cheveux) ben les mèches tombent comme des baguettes (alors que quand je les lâche, ils frisouillent, tu vois comme c’est énervant).

J’entends d’ici les « haaaan elle sait pas faire les brush’ ou quoi celle là ??! ». Ben nan. Enfin si, mais au prix d’une interminable torture du bras. Nan. DES bras. Quand j’ai mal qu’à un seul bras, c’est que j’ai arrêté à la moitié tellement j’en avais ma claque. Et j’ai la moitié du crâne touffu/vaporeux/électrique/mouton (aucune mention inutile) et l’autre, lisse, mais raidasse. « C’est pourtant simple » me disent les coiffeuses (moui, j’ai DES coiffeuses) « tu prends ta mèche dans une main, avec tu places ta brosse aux racines pour biiiiiiiiiien les décoller » (note pour plus tard : vérifier ses dires. Ai-je VRAIMENT les racines collées ??) « puis tu tiiiiiiires la brosse vers le bas, et plaçant ton sèche cheveux en haut, diffuseur tête en bas. Et en même temps, tu tournes la brosse ».

Bon, ça parait très simple comme ça. Ben moi, j’ai besoin de 4 mains pour faire ça. Y’a des nanas qui font ça tous les matins, moi, le week-end, et encore, j’ai ma technique de feignasse empotée. Je les laisse sécher à l’air libre (je les crame pas, one point), puis quand ils sont parfaitement secs, je m’arme de mon lisseur, qui fait redoutablement son œuvre. J’ai des cheveux lisses comme des BAGUETTES. Mais ils sont raplaplas( - 2 points….).

Au début, je mettais ça sur le compte du matos, à grand coup de slogan « un bon ouvrier doit avoir de bons outils », ou un truc dans ce genre…

Alors j’ai fait péter la Gold.

Et maintenant, j’ai du super matos hein ?! Sèche-cheveux avec moteur professionnel (parce que les moteurs pour amateurs, tututut, très peu pour moi…), lisseur céramique, crème protectrice des cheveux, masque nourrissant. J’ai la totale, quand, dans ma salle de bain je sors tout mon attirail, on dirait Tomb Raider. Mais j’en suis au même point. Je veux dire capillairement parlait hein, physiquement, j’en suis pas au même point que Lara Croft.

Bref, ressembler à rien, c’est la ruine.

En fait, c’est m’acheter 2 bras que j’aurais du faire… 2 bras de coiffeuse m’iraient bien, tant qu'à faire. Même d’occas, je suis preneuse. Faire offre.